85 % des kinésithérapeutes exercent à titre libéral. Cette valeur élevée peut s’expliquer par plusieurs facteurs :
L’exercice salarié a été laissé à l’abandon malgré toutes les alertes faites par la profession et malgré des manifestations unitaires des kinésithérapeutes et des orthophonistes. Si le Ségur de la Santé a apporté un bol d’air au pouvoir d’achat des soignants salariés, il reste de nombreuses problématiques structurelles au sein des établissements qu’il convient de résoudre.
Le SNMKR est signataire du « livre blanc de la profession pour une kinésithérapie performante et moderne dans la fonction publique hospitalière » et demande la mise en oeuvre des recommandations du rapport, parmi lesquelles :